[TEST] The Inpatient sur PS4 / VR !
Hey !
Nous nous retrouvons aujourd’hui pour parler de jeu sur mon support préféré : le PSVR ! Et comme il s’agit d’un nouveau survival horror, vous vous doutez combien j’étais « impatiente » (jeu de mot, lol mdr…) de mettre la main dessus !
Donc voici maintenant mon ressenti de l’expérience The Inpatient !
L’histoire :
Pour commencer l’histoire est basée sur des faits en lien avec une de mes licences (sur VR) préférées : Until Dawn, et autant vous dire qu’en matière de « je te fous les chocottes » ils savent y faire chez Supermassive Games. Quand j’ai acheté mon PSVR en novembre 2016 mon premier jeu était Until Dawn : Rush of Blood. J’y ai passé de nombreuses heures à user mes PS Move dessus et il reste encore mon jeu chouchou pour faire découvrir le jeu VR à mes amis.
Retour donc dans l’asile psychiatrique de Blackwood mais cette fois 60 ans avant les événements qui se tiennent dans le premier jeu. Vous êtes un patient en quête de ses souvenirs et vous comprenez rapidement que tout ne tourne pas rond à travers plusieurs flashbacks qui plantent une ambiance glauque et étouffante.
Ce qu’il faut faire :
Ici pas de gunfights musclés mais plutôt des interactions façon point’n’click, les énigmes en moins. En effet il vous est demandé de vous déplacer un peu partout pour lancer des animations en lien avec les objets ou bien pour échanger avec votre collègue de chambre ou le personnel de l’asile, donc pas de casse-tête ni de course-poursuite au menu. J’ai joué l’intégralité de l’histoire avec les PS Move ce qui ajoute au sentiment d’immersion, mais cela peut très bien aussi se faire à la manette.
L’aventure complète vous prendra 2 à 3 heures au maximum si vous vous attardez sur tous les détails ou si vous êtes en quête de trophées. En terme de rejouabilité cela sera limité à revenir aux quelques choix qui vous permettent d’influencer le cours du jeu, et ainsi connaître les différents scenarii qui s’offrent à vous.
Ce que j’ai aimé :
- comme dit plus haut : la licence. C’est toujours un plaisir de revenir dans l’univers Until Dawn
- les graphismes : les décors comme les personnages sont particulièrement soignés, un véritable plaisir pour les yeux
- les commandes vocales : car oui vous pouvez faire vos choix d’une simple parole (à éviter quand c’est l’heure du dodo pour les autres)
- peu ou pas de motion sickness : car c’est tout de même un argument important de ne pas avoir envie de vomir toutes les 2 phases de jeu 😀
- l’influence des choix sur l’histoire : j’adore ce concept qui a déjà fait ses preuves plusieurs fois !
Ce que j’ai moins aimé :
- la durée de vie : 2 heures ça passe très vite, et l’histoire prenant un certain temps à se lancer on voit finalement que peu d’environnements
- trop peu de scare jumps : vous allez me prendre pour une dure à cuire comme ça mais habituellement je crie facilement et souvent très fort dans les jeux du genre (mes voisins ont dû me détester sur Resident Evil 7). Ici les occasions sont malheureusement trop rares
- le manque de dynamisme : je reprocherais un rythme trop mou dans le déplacement, qui parfois fait oublier que le lieu est particulièrement hostile
- quelques bugs graphiques : en fonction de l’angle de vue ou de votre position cela peut donner quelques bizarreries
Verdict :
Je pense que l’expérience est à vivre car peu de jeux sont arrivés à mettre autant de réalisme dans le sentiment d’internement, et vivre Blackwood de l’intérieur ça donne quelques frissons. Toutefois, il ne marquera pas autant la série que ses prédécesseurs qui avaient été très bons, un peu plus d’action et de durée de jeu auraient été bienvenus.
MasterLudo
Deux heures c’est léger comme tout même si je ne connais en effet personne capable de jouer régulièrement cinq heures d’affilé sur casque VR en même temps…